Je sais ce qu'est l'intimidation. J'ai vu l'impact.

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Artistiquement, je voulais capturer l'émotion des mots d'accompagnement plutôt que d'interpréter les mots eux-mêmes comme par le geste. 

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Tout au long du processus, j'ai supprimé tous les mouvements supplémentaires qui ne bénéficiaient pas à la pièce. Je me suis demandé si chaque mouvement était nécessaire et si la réponse était non, je l'ai jeté. 

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J'ai décidé d'inviter les spectateurs à monter sur scène et à attacher des photos à une corde à linge. Les photos étaient des côtelettes de porc et des images d'enfants, ce qui était lié au texte.